Le Maroc est l’un des pays au monde des plus altérés par le changement climatique. Dans le Royaume, la demande en eau dépasse les ressources disponibles. Notre pays placent notre pays dans le top 20 du classement mondial des pays.
Le Maroc devrait passer à l’horizon 2050 sous le seuil critique des 500 m³ perdant au passage 30%. Cela s’explique par une faible pluviométrie, une augmentation constante de la demande en eau. Et plusieurs facteurs dont l’homme répond comme l’activité domestique.
Conséquences, de nombreuses régions souffrent de la sécheresse. Mais pas seulement, puisqu’aujourd’hui, et plus que jamais, ses effets se font sentir en milieu urbain. L’exposé ministériel quant à la pénurie des ressources en eau a été plein de chiffres alarmants. Le ministre Nizar Baraka a déploré que l’apports d’eau recensés au 1er septembre 2021 a atteint 714 millions de mètres cubes, ce qui représente un déficit de 89% par rapport to la moyenne annuelle. Et d’énumérer les déficits vont de 30 à 50% dans les bassins hydrauliques de Guir-Ziz-Rhéris et de Drâa-Oued Noun.
Le ministre Nizar Baraka a déploré que l’apports d’eau recensés au 1er septembre 2021 a atteint 714 millions de mètres cubes, ce qui représente un déficit de 89% par rapport to la moyenne annuelle. Et d’énumérer les déficits vont de 30 à 50% dans les bassins hydrauliques de Guir-Ziz-Rhéris et de Drâa-Oued Noun.
Le ministre de l’Agriculture, Nizar Baraka, a annoncé la mobilisation d’un enveloppe de deux milliards de dirhams pour réalisation de nouveaux projets. La mobilisation visant à assurer l’accès à l’eau potable au profit des habitants de 50 centres ruraux.
Source: Hespress